Drames à Kasserine et lenteur des officiels

Drames à Kasserine et lenteur des officiels

En l’espace d’à peine 24 heures, la région de Kasserine a vécu plusieurs drames avec, d’abord l’attentat du mardi 30 août 2016 suivi de la mort d’un adolescent à l’aube d’aujourd’hui et, comble de malheur, la collision entre un camion et un bus  ayant fait des dizaines de victimes entre morts et blessés.

Trop de tragédies qui mettent toute la région en ébullition et en deuil. Mais à l’échelle nationale, on n’a enregistré aucune réaction officielle alors que des voix s’élèvent appelant à décréter un deuil national.

Les populations locales déplorent les lenteurs des officiels à réagir et à entreprendre les traitements qui s’imposent, une lacune qu’on constate à chaque catastrophe sans parler les défaillances au sein des infrastructures hospitalières de la région aussi bien au niveau des effectifs du staff médial et paramédical qu’à celui des équipements.

Jusqu’à quand ?

 

N.H

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