La Tunisie et la crise libyenne : Oui aux frappes ciblées, non à une intervention armée

La Tunisie et la crise libyenne : Oui aux frappes ciblées, non à une intervention armée

 

En marge d’une visite effectuée, vendredi 26 février au poste frontalier de Ras Jedir, le ministre de la défense, Farhat Horchani, a déclaré, que « la Tunisie est opposée à intervention armée en Libye, toutefois, elle approuve les frappes ciblées contre les refuges des terroristes».

Il a réitéré la postions tunisienne affirmée par le président de la république qui tient à la résolution pacifique de la crise  libyenne.  Elle soutient le nouveau gouvernement Assaraj uen fois approuvé par les parties libyennes.

Toute intervention armée pourrait engendrer de graves conséquences sur les pays voisins dont notamment la Tunisie qui accueille déjà plusieurs milliers de Libyens.
Farhat Horchani a, par ailleurs, rassuré les Tunisiens en affirmant le haut degré de préparation des forces armées, positionnées sur les frontières avec la Libye, et ce, a-t-il dit, « grâce à la mise en place d’un système global de défense qui sera consolidé, prochainement, par un dispositif de surveillance électronique avec une assistance américaine et allemande ».

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