Nouveau livre de Hatem Karoui :« B’chira Ben M’rad (1913-1993), libératrice de la femme tunisienne »

Nouveau livre de Hatem Karoui :« B’chira Ben M’rad (1913-1993), libératrice de la femme tunisienne »

Le nouveau livre de Hatem Karoui est paru. Son thème est celui de la présentation de la grande militante B’chira Ben M’rad. Son titre est : « B’chira Ben M’rad (1913-1993), libératrice de la femme tunisienne ». Dans son chapitre I, Il met en exergue l’engouement à travers les réseaux sociaux pour cette promotrice des droits de la femme pendant le Protectorat, puis dans le second chapitre il croise différentes sources sur son itinéraire et son parcours. Quant au troisième chapitre, il y reproduit ses différents discours prononcés notamment à l’occasion des fêtes caritatives qu’organise l’Union des Femmes Musulmanes de Tunisie qu’elle préside. Le quatrième chapitre traite de la fin de sa vie, de la cérémonie de son décès et des témoignages qui l’ont accompagnée. Le 5ème chapitre développe les notes annexes des commentaires précédents Quant au 6ème, il reproduits différents documents complémentaires. Le 7ème et le 8ème relate une bibliographie des ouvrages consultés et présentent des icônes d’illustration de son parcours alors que le 9ème énumère les précédents ouvrages de l’auteur.

En résumé, un travail intellectuel de plus pour rappeler aux femmes tunisiennes de la jeune génération les efforts et les souffrances de l’une des personnalités les plus représentatives de leurs ainées pour faire aboutir à la situation enviable dans le monde arabo-musulman où ils se trouvent à présent.

Livre format A5, 132 pages, couverture et photos quadrichromie, imprimé à compte d’auteur, distribué auprès des librairies tunisiennes dans les prochains jours au prix de 20 DT.

Ce livre est dédié bien sûr à  B’chira, mais aussi à ses sœurs Najiba, Hamida, Essia, Kmar, Om Héni, Safia, Leïla, Fatma et Nour el Houda  Ben M’rad…qui à des degrés divers de responsabilité l’ont assistée, sans exclure évidemment l’appui d’autres militantes qui ont permis toutes que l’Union des Femmes Musulmanes de Tunisie (UFMT) ait agi de manière  palpable et effective pour que la femme tunisienne garde la tête haute pendant la période coloniale et de cette manière passe de la meilleure façon le témoin à la génération qui prendra sa relève après une indépendance qui apparaissait déjà inéluctable.