Violence verbale, sexisme, harcèlement…, les réseaux sociaux s’enflamment !

Certaines  gens se rabaissent jusqu’au niveau de l’animal, se font dénigrer jusqu'à en perdre l’esprit de convivialité suite à des propos racistes, blessants et pouvant toucher l’image de la personne attaquée et de sa réputation.

C’est simple, une fois que les idées s’opposent montrant une quelconque divergence d’opinion, la communication part en vrilles : menaces de mort, incitation à la haine et autres « textos » offensants.

Mis à part ces propos racistes qu’on entend souvent, le sexisme aussi prend de l’ampleur et les filles en souffrent au quotidien, aussi bien dans la rue, dans les moyens de transport qu’à la plage.

Il suffit d’une photo publiée (sur une plage, en boîte ou en tenue de sport) pour que certains effrontés  sortent leurs dents et  commencent à attaquer la « proie », gratuitement.

N’on t-ils pas honte ?

D’autres individus, générateurs de haine, adeptes du conflit de religions, se lâchent sur les buveurs d’alcools et fêtards, les traitant de mécréants. N’importe quel évènement pourrait éventuellement créer des tensions. Et pas n’importe lesquelles !

Certains aussi ont du mal à tolérer les sentiments différents, surtout en matière de foot. Récemment, lors de la finale de l’Euro 2016, les divergences ont atteint des sommets, entre supporters de différentes équipes. Certains auront même voulu imposer leur équipe, en qualifiant les plus soumis de « vrais patriotes ».

D’autres aussi sortent carrément du domaine du ballon rond pour justifier le choix de leur équipe. Et dire qu’un internaute a osé sortir cette phrase : « Haïr la France est un devoir pour la simple raison qu’on a été auparavant colonisés et que ceci peut paraître comme une trahison envers nos anciens combattants ». Drôle d’argument !

Hamouda Boucetta