A l'occasion du vingtième anniversaire du changement, le chef de l'Etat a prononcé un discours historique dans lequel il a annoncé de nouvelles mesures qui visent à hisser notre économie à des paliers supérieurs afin d'intégrer le peleton des pays développés.
Les mesures ont concerné tous les domaines et toutes les catégories sociales.
En voici celles qui concernent directement la communauté des affaires.
L’Office National de l’Artisanat (ONA) a organisé, à Tunis, le séminaire annonçant de démarrage du programme de jumelage entrant dans le cadre du programme d’appui à la mise en œuvre de l’accord d’association (P3A) en présence des chefs du pilotage dudit projet dans les pays partenaires et d’une pléiade d’experts et de professionnels.
Rappelons, à ce propos, que le programme P3A enregistre l’implication de parties
Enclenché, il y a 20 ans, le processus de transition de l'économie tunisienne d'une économie administrée, protégée, fortement endettée et dominée par le secteur public en une économie largement libéralisée, ouverte et crédible, touche, aujourd'hui, à sa fin avec comme prime au final: un franc succès internationalement reconnu.
Fondé sur la corrélation entre le social et l'économique, le modèle de développement tunisien
Cette ligne de crédit environnemental d'un montant total de 40M d'euros, vise le financement d'investissements bénéfiques pour l'environnement en matière de dépollution industrielle et de maîtrise de l'énergie. Elle est déployée à travers trois banques de la place : BIAT, Banque de Tunisie et l'UBCI.Cette ligne de crédit constitue le premier instrument de financement que l'Agence Française de Developpement octroie en Tunisie sur le mode « non souverain »
Selon des milieux bien informés, il serait question, afin de stimuler les investissements, de prolonger encore de cinq ans les avantages octroyés par le Code d’Incitation aux Investissements aux sociétés totalement exportatrices, et notamment l’exonération de l’IS durant 10 ans.
Cette information est donnée sous toute réserve.
La Banque tunisienne de solidarité (BTS) a reçu le prix de la ''Banque de micro-financement de l'année'' lors d'une cérémonie co-organisée par African Banker, le magazine bancaire de IC Publications, et Business in Africa Events en marge de l'Assemblée générale de la Banque mondiale.
Un jury d’experts a sélectionné les lauréats dans 11 catégories, parmi lesquelles figurent la banque de l’année, le banquier de l’année
« Les défis de la sécurité informatique dans le secteur bancaire », tel est le thème de l’atelier, organisé, par l’Agence Nationale de la Sécurité Informatique (ANSI), en marge du 1er salon national des services bancaires et de la monétique.
Au programme de l’atelier, trois principaux volets consacrés respectivement à un exposé sur « les risques des technologies de l’information et de la communication dans les services bancaires »
De la lettre d'intention émanent du verrier Français, à la décision de gel des actions appartenant aux heritiers de la famille Chahed en passant par la cession annoncée au groupe marocain SEVAM, le Feuilleton SOTUVER n'a rien à envier aux feuilletons Mexicains, tellement cette affaire a connu des rebondissments.
En effet, le tribunal de 1ère instance de Tunis a décidé, dans l’affaire n°59.574, le gel de l’opération de cession des actions détenues par les héritiers de feu Khaled
Avec 53 projets agrées par les banques, un volume de financement important et un nombre conséquent d’emploi a créer, le bilan dégagé suite à la journée de partenariat interrégional et de relance de l’investissement privé, tenue récemment au Kef, était largement positif.
En effet, sur l’ensemble des 66 projets soumis aux banques, 53 d’entre eux ont bénéficié d’un accord de principe de financement, soit, en tout, un volume financier de 75 millions
Partout dans le monde, ou plutôt dans les 131 Pays concernés, s'est déroulée la présentation des Résultats du rapport mondial sur la compétitivité 2007/2008.
A cet effet, L’Institut Arabe des Chefs d’Entreprises (IACE) a organisé une réunion présidée par M. Chakib Nouira et qui a été animée par d’éminents experts de la vie économique venus discuter du classement, du nouveau mode de calcul mais également de la pertinence de certains chiffres