Les cinq ennemis d’Ennahdha, selon Bhiri
Le très volubile président du groupe parlementaire du mouvement Ennahdha à l’Assemblée des représentants du peuple Noureddine Bhiri a déclaré que « l’exclusion et l’écartement ne sont plus permis dans une démocratie où toutes les parties doivent cohabiter ensemble » et ce, en réaction à la constitution du Front du salut et du progrès, lequel Front a annoncé son opposition « frontale » au mouvement islamiste. Pour lui, la « La divergence des opinions ne veut pas dire qu'on est des ennemis ». Les Tunisiens n'ont pas besoin de partis ennemis mais de solutions aux différents problèmes socio-économiques.
Tout en remerciant ceux qui font de la propagande pour Ennahda, il a énuméré les cinq ennemis du mouvement qui sont, selon lui, le terrorisme, la malversation, la pauvreté, la maladie et l’ignorance. C’est pourquoi, « la réconciliation est une nécessite pour dépasser toutes les épreuves ».
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