« Aswat Nissaa » pointe du doigt des violations procédurales dans l'affaire du député Makhlouf
L'association "Aswat Nissaa" (Voix de femmes) a décidé d'envoyer une correspondance au Conseil supérieur de la magistrature (CSM) pour lui demander de prendre les mesures nécessaires à l'encontre de toute personne ayant intentionnellement usé de moyens dilatoires dans l'affaire de harcèlement sexuel liée au député Zouhair Makhlouf, et d'avoir étendu les procédures à des fins purement politiques qui ne respectent pas le cours de la justice ou les lois du pays relatives à la lutte contre toutes les formes de violence à l'égard des femmes.
Dans un communiqué publié, lundi, l'association "Aswat Nissaa" a annoncé qu'elle prévoit de tenir une conférence de presse avant la rentrée parlementaire, afin d'informer l'opinion publique de l'issue de cette affaire et des violations procédurales qui l'ont accompagnée.
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