CityCampTunisia : La voie virtuelle pour la transparence

CityCampTunisia : La voie virtuelle pour  la transparence

L’initiative « CityCampTunisia», projet  lancé il y a six mois  dans trois villes pilotes – Gafsa, Bizerte , Sfax-- par des membres de la société civile, des technologistes ou « Geeks » ainsi que  par les collectivités locales,

avec le soutien de la Banque Mondiale, offre l’opportunité au citoyen de s’approprier sa ville. En effet, CityCamp a permis  à ses participants la possibilité  de plancher sur les problèmes qui touchent les citoyens et de réfléchir à des applications capables d’améliorer la performance et la communication autour de thématiques telles que la prévention de la pollution,  la réduction des embouteillages, la valorisation du patrimoine culturel et l’accessibilité aux services municipaux.

Réunis une première fois à Sfax, cette communauté se retrouvera à Bizerte ce Samedi 16 Juin 2012 pour explorer de nouvelles problématiques et associer des nouveaux acteurs qui élargiront la gamme des thématiques qui touchent les citoyens et leur ville. Les représentants du hackerspace (@hackerspaceTN) et l’opengovTN ainsi que d’autres geeks , qui ont travaillé sur le projet du site web de la commune de Sayada , seront là pour enrichir les discussions et les projets en cours , fort de leur expérience et de l’esprit « hacker »  qui les anime.

Ainsi,  invités à Bizerte  par les autorités locales et  la jeune association “c’est à vous de changer Bizerte“, les groupes de travail des trois villes pilotes , auxquels se joindra la communauté des technologistes/ Geeks /Hachers  de Tunis et d’autres villes se réuniront à nouveau , ce samedi 16 Juin  à l’ISET de Bizerte , pour affiner les propositions techniques afin, qu’à terme, elles puissent être adoptées par toutes les municipalités de Tunisie.

Cet objectif est réalisable dans la mesure où la volonté politique s’harmonise avec la volonté citoyenne de s’approprier sa ville, utilisant les Tics comme  outil crucial pour tisser une plateforme commune entre le citoyen, la société civile et l’administration

Source: Communiqué