La réunion de la Haute commission mixte au menu de la rencontre ZaafraniZenzri et son homologue égyptien

 La réunion de la Haute commission mixte au menu de la rencontre ZaafraniZenzri et son homologue égyptien

 

La Cheffe du gouvernement Sarra Zaafrani Zenzri et le Premier ministre égyptien Moustafa Madbouli, ont souligné, lundi, l'importance de bien préparer la tenue de la Haute Commission mixte tuniso-égyptienne qui se tiendra en septembre 2025. Au cours d'un entretien tenu, à Séville (Espagne), en marge de la quatrième Conférence internationale sur le financement du développement (FfD4), qui se tient du 30 juin au 3 juillet 2025, les deux parties ont, également, mis l'accent sur l'importance d'organiser un forum qui réunira des hommes d'affaires tunisiens et égyptiens afin de développer davantage les relations bilatérales dans les différents domaines au double plans commercial et économique.

La Cheffe du gouvernement a salué les relations bilatérales historiques et distinguées entre la Tunisie et l'Egypte, grâce à l'appui des dirigeants des deux pays, les présidents Kaïs Saïed et Abdel Fattah al-Sissi.

Pour sa part, le Premier ministre égyptien a affirmé l’appui total de son pays à la Tunisie et à toutes les mesures prises par le Chef de l’Etat Kaïs Saïed. En marge de sa participation aux travaux de la FfD4, la Cheffe du gouvernement, Sarra Zaafrani Zenzri tient une série de rencontres avec des chefs de gouvernement et des responsables d'institutions financières.

Le sommet de Séville marquera la quatrième grande conférence onusienne sur le financement du développement, après celles de Monterrey (Mexique) en 2002, qui a adopté le consensus de Monterrey qui définissait les priorités du financement pour le développement, de Doha en 2008 qui a adopté la Déclaration de Doha sur le financement du développement, et d'Addis-Abeba en 2015, qui a adopté le Programme d’action d’Addis-Abeba.

La FFD4 devra être marquée par l’adoption formelle de l’accord sur le financement du développement conclu le 25 juin 2025 entre les Etats membres de l’ONU, sans les Etats-Unis. Il s’agit d’un cadre de référence renouvelé pour mobiliser les financements en faveur du développement durable et à répondre à un besoin de développement estimé à 4000 milliards de dollars par an, dont pâtissent particulièrement les pays en développement

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