L’argent des migrants, une source de financement pour les pays en développement

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Partant du constat,  qui d’ailleurs est largement partagé, que «les envois d’argent des migrants constituent une importante source de financement des économies des pays en développement et des populations récipiendaires», la Banque Africaine de Développement entend esquisser des solutions pour parvenir à baisser le coût des transferts d’argent des migrants et à un meilleur impact sur le développement.

C’est dans cette perspective et sous l’impulsion de la (BAD), que mercredi 19 juin 2013, un atelier se tiendra dans les locaux de la Banque centrale de Tunisie (BCT), à Tunis.

Le thème du débat tournera autour de: «La réduction du coût des transferts d’argent des migrants et l’optimisation de leur impact sur le développement». L’événement s’appuiera sur la présentation d’une étude éponyme parue en 2012, et sous-titrée «Outils et produits financiers pour le Maghreb et la Zone franc».

Seront au nombre des personnalités présentes à l’ouverture officielle de cette journée, Chedly Ayari, gouverneur de la Banque centrale de Tunisie, Aly Abou-Sabaa, vice-président de la BAD, Houcine Jaziri, secrétaire d’Etat chargé de l’Immigration et des Tunisiens de l’étranger, François Gouyette, ambassadeur de France en Tunisie, Cyrille Bertin, directeur de l’Agence française de développement (AFD) à Tunis, Habib Ben Saâd, président de l’Association professionnelle tunisienne des banques et établissements financiers (APTBEF), et Fadhel Abdelkefi, directeur général de la Bourse de Tunis.