Les pauvres n’ont plus rien à donner, selon Cheffi
Dans une déclaration faite sur les ondes de la station de radio Express FM, le secrétaire général adjoint de l’UGTT, Samir Cheffi, a reconnu la situation très délicate par laquelle passe l’économie du pays. Mais il a ajouté que ce ne sont pas les classes les plus défavorisées qui doivent supporter les répercussions de cette crise.
« Les plus démunis sont ceux qui payent en règle leurs impôts et qui payent donc pour les plus riches. Je ne pense pas que les pauvres ont encore quelque chose à sacrifier et malgré cela nous nous sommes dits prêts à aider notre pays avec tout ce qui est en notre pouvoir de donner » a-t-il souligné, ajoutant que la condition à cela est que le gouvernement applique la justice fiscale énoncée dans le document de Carthage.
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