Conférence internationale sur l’investissement : Un millier d’entreprises se sont préinscrites
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Les préparatifs pour l’organisation de la conférence internationale d’appui au développement et à l’investissement qui se tiendra le 29 et 30 novembre prochain à Tunis, semblent aller dans le bon sens. La Tunisie s’affaire à sensibiliser les partenaires étrangers, Etats, Institutions financières et gros investisseurs, pour participer à cet événement dont l’arganisation a été confiée à un consortium regroupant la banque d’affaires française Arjil et Associés, le bureau d’études tunisien COMETE Engineering et Africa Communication Events, filiale événementielle du groupe média Jeune Afrique. Le président de la République a appelé au cours de sa participation aux travaux de la 71ème session de l’Assemblée générale des Nations Unies « les pays frères et les partenaires de témoigner leur solidarité avec la Tunisie et de montrer leur soutien au processus démocratique ».
De son côté le gouvernement d’union nationale a décidé de promouvoir cet événements auprès de plusieurs pays en dépêchant quatre membres du gouvernement auprès des capitales étrangères pour essayer de « vendre le label tunisien » et les sensibiliser à participer à cette Conférence. Un site www.tunisia2020.com/ qui est lancé en trois versions arabe, française et anglaise, offre une présentation détaillée de la Conférence, de ses objectifs, de son programme ainsi que de son contexte ainsi que les projets proposés à l’investissement. Le site offre, également, la possibilité de s’inscrire en ligne pour participer à la Conférence.
Selon Jeune Afrique, un millier d’entreprises se sont pré-inscrites à l’événement, dont 400 sont étrangères. L’objectif consiste à atteindre les 2 000 sociétés, moitié tunisienne, moitié étrangère. La Tunisie table sur environ 20 milliards d’euros.
« Ce sommet doit servir de rampe de lancement au plan de développement quinquennal 2016-2020, grands travaux publics, privés et mixtes, pour un investissement de 120 milliards de dinars (50 milliards d’euros) », ajoute jeun Afrique dans un article publié le 14 octobre.
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