Gaza, Silence Israël tue les journalistes !

Quatre journalistes travaillant pour des médias internationaux tués ce lundi matin dans des frappes israéliennes sur un hôpital du sud de la bande de Gaza.

Près de 240 journalistes tués depuis le début de la guerre à Gaza, un vrai carnage. Pendant la Seconde Guerre mondiale, 69 journalistes ont été' tués, ce nombre a atteint 66 pendant la guerre du Vietnam.

Des journalistes ciblés et tués, des rédactions détruites, Internet et l'électricité coupés, la presse étrangère bloquée : depuis le début de la guerre à Gaza, les forces israéliennes ont méthodiquement détruit l'infrastructure des médias sur le territoire et étouffé' le journalisme.

Lorsque les médias et leurs acteurs sont tués, réprimés, harcelés, intimidés et éloignés de la scène des évènements, cela signifie que des actes horribles et des atrocités sont commis et que les coupables veulent les cacher à l'opinion publique à l'intérieur et à l'extérieur de la zone, et c'est ce qui se passe dans la bande de Gaza.

Où sont les journaleux français et les petits politicards qui nous ont cassés les oreilles avec la liberté de la presse ces derniers jours, ont fait qu'hurler contre LFI pour le non accréditation d'un journaleux qui présentait le premier parti de Gauche à l’assemblée nationale comme une secte et qui s’attaque aux familles. Ces journalistes qui ne dénoncent pas ce crime en ces termes en sont directement complices.

La liberté de la presse est à la carte soumise au lobby sioniste.

Les atteintes à l'indépendance des rédactions se répètent. À chaque fois, les consciences se réveillent, puis se rendorment, et rien ne change... Cet affaissement de l'indépendance donc de la qualité de l'information est une explication majeure du gouffre de défiance qui s'est créé entre l'opinion publique et les médias.

" La clef des libertés civiques d'un peuple est dans la liberté' de la presse."

 A.K