Hillary Clinton, « un allié de poids pour la Tunisie »
Dans un article intitulé « Hillary Clinton, une alliée de poids pour la Tunisie », rédigé par Samy Ghorbal, Jeune Afrique parle du « tropisme tunisien de la candidate démocrate remonte à la fin des années 1990. Celle qui était encore First Lady s’était rendue en visite privée en Tunisie avec sa fille, Chelsea, pour oublier les tourments de l’affaire Monica Lewinsky et fuir les paparazzis. Ce voyage qui l’a marquée, lui a permis de découvrir à la fois la richesse de la civilisation du pays, la vitalité de sa société civile et le rôle joué par les femmes l’a marquée et reste pour elle un excellent souvenir », raconte Mohamed Malouche, consultant chez Deloitte.
Selon JA, à la différence de ses voisins marocain et algérien, très représentés sur la colline du Capitole, qui abrite le Congrès des États-Unis, la Tunisie ne dispose pas de lobbyistes attitrés à Washington.
Le réseau informel le plus actif est Tunisian American Young Professionals (TAYP), présidé par Mohamed Malouche, consultant chez Deloitte. Il a entrepris de sensibiliser les décideurs américains à la cause tunisienne. En l’espace de cinq ans, TAYP a réussi à s’imposer comme un interlocuteur incontournable et a tissé des liens privilégiés avec l’entourage de Hillary Clinton.
Deux membres du board de TAYP, Shelly Porges et Kris Balderston, sont d’anciens collaborateurs de la candidate démocrate. Porges a été conseillère principale du Global Entrepreneurship Program du département d’État américain et a conduit des levées de fonds au profit de la candidature Clinton. Balderston a travaillé aux côtés de Hillary en qualité de chef de cabinet adjoint quand cette dernière était sénatrice de l’État de New York et l’a suivie au département d’État, entre 2009 et 2013.
http://www.jeuneafrique.com/mag/359814/politique/hillary-clinton-alliee-...
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