JCC 2018 : 9 films tunisiens en compétition, Carthage pro et plusieurs invités

 JCC 2018 : 9 films tunisiens en compétition, Carthage pro et plusieurs invités

Néjib Ayed, directeur Général du festival

Les Journées Cinématographiques de Carthage (édition 2018) sont désormais à nos portes. Au cours d'une conférence de presse tenue le mercredi 17 octobre 2018 pour la circonstance, les détails de l’édition 2018, qui se tiendra du 3 au 10 Novembre prochains, ont été présentés aux médias nationaux et internationaux par Néjib Ayed, directeur Général du festival.

Cette année 206 films ont été sélectionnés représentant 47 pays.Le directeur général des JCC a rappelé l’importance du public cinéphile tunisien et son engouement pour les films de la sélection. 

Afin de satisfaire la forte demande, les organisateurs du festival doubleront leurs efforts afin de faciliter l’accès des festivaliers à la billetterie qui sera centralisée cette année. 30% des billets seront vendus en ligne, 50% seront disponibles dans une billetterie centrale installée sur l’Avenue Bourguiba et comportant 10 guichets ouverts de 10h à 20h, en plus de guichets disponibles dans les cinq bureaux de la Poste Tunisienne autour de l’avenue Bourguiba.

Lamia Guiga, déléguée générale artistique, a annoncé que 800 films venant du monde entier et produits entre 2017 et 2018 avaient postulé au départ à la sélection de cette édition.

Les quatre compétitions officielles comprennent 44 films dont 13 longs métrages de fiction, 11 longs métrages documentaires, 12 courts métrages de fiction et 8 courts métrages documentaires.

Lynda Belkhiria a parlé de Carthage Pro, la plate-forme professionnelle du Festival et ses cinq sections. A savoir le réseau CHABAKA pour le développement de projets de coproduction et de films, le réseau TAKMIL, qui soutient les films en phase de post-production, Carthage Talks, une série de panels sur l'industrie. Des Masterclass seront organisés avec le compositeur de musiques de films tunisiens Amin Bouhafa, le critique de cinéma libanais Ibrahim Elariss et le cinéaste tchadien Mohamed Salah Haroun.

Béchir Souli

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