Les engagements de Mehdi Jomâa envers les Tunisiens
Dans sa conception de la prochaine étape qui suivra les élections présidentielles, le candidat du parti Al Badil Attounsi pour les prochaines élections présidentielles anticipées, Mehdi Jomâa, a présenté un ensemble d’engagements politiques, économiques, sociaux et diplomatiques, qu’il mettra à exécution à partir du moment où il sera élu président de la République et dont les plus importants sont :
1 – Le parachèvement des instances constitutionnelles et en premier lieu la Cour constitutionnelle.
2 – Le changement du code électoral et le lancement d’une initiative d’évaluation du système politique en place.
3 – Le développement des moyens techniques, logistiques et matériels de l’institution militaire et l’amélioration des conditions sociales des sécuritaires et des militaires et permettre le pris-en-charge du martyr sécuritaire et militaire d’une pension permanente.
4 – La restructuration du ministère des Affaires étrangères et la création d’une structure spéciale pour la diplomatie économique.
5 – La révision de tous les accords passés avec les partenaires économiques dans le but de créer des opportunités d’investissements nouvelles au profit des jeunes et des propriétaires d’institutions pour plus d’ouverture sur l’économie mondiale et sur l’économie numérique.
6 – La mise en œuvre d’une procédure législative pour la libéralisation de l’initiative privée et la création de projets, en allégeant le poids fiscal sur les sociétés.
7 – La création de 100 mille emplois en permettant aux jeunes l’exploitation des terres agricoles abandonnées.
8 – La révision du système de compensation en l’orientant au profit de ses ayant-droits.
9 – La suppression du contrôle fiscal approfondi et le remplacer par le contrôle fiscal électronique (par la numérisation du système fiscal), dans le but de limiter la fuite fiscale et le trafic et d’améliorer le pouvoir d’achat du citoyen.
10 – La révision du système éducatif et la soumission des programmes de l’enseignement au contrôle de l’Etat dans les secteurs public et privé, tout en instaurant le principe de l’égalité des chances entre tous les Tunisiens dans une école répondant aux exigences de l’époque et du marché du travail.
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