On aura tout connu en Tunisie, ce petit pays de 10 millions d’habitants ; une génération de bâtisseurs qui a balisé les fondamentaux de la première république avec l’éducation et l’école obligatoire, la santé et le planning familial et les diverses expériences économiques et sociales. Une génération qui s’est trompée certes mais qui a marqué son temps et son époque par son amour pour le pays et son dévouement pour la patrie.
La grève générale décidée par l'UGTT pour le 13 décembre "est politique par excellence et ne sert pas l'intérêt syndical", a estimé la confédération générale tunisienne du travail (CGTT).
Hamadi Jebali a essayé, à maintes reprises, le mercredi 5 décembre de contacter le Secrétaire Général de l’UGTT Houcine Abassi, mais ce dernier n’a pas daigné répondre à ses appels. Et l'autre à son tour...
« Le chicken run », vous connaissez ? Un exercice rendu célèbre par le mythique film « La fureur de vivre » de James Dean : deux voitures, deux jeunes révoltés et une course jusqu’au bord d’un précipice et celui qui freine le premier sera le plus dégonflé des deux. Pour les plus subtils d’entre vous la scène est déjà révélatrice de notre vécu et il n’y a pas besoin d’aller plus loin.
La secrétaire d’Etat américaine, Hillary Clinton, sera en visite en Tunisie le 13 décembre, pour co-présider le 9ème Forum pour l’avenir, co-organisé par la Tunisie et les USA. Ce forum réunira plusieurs ministres des Affaires étrangères d’Afrique, du Moyen-Orient et du G8, ainsi que les présidents d’organismes régionaux, internationaux et représentants de la société civile.
Le secrétaire général de l'Union générale tunisienne du travail (UGTT), Houcine Abassi, a affirmé mercredi 5 décembre que l'agression de syndicalistes, mardi, place Mohamed Ali, a été commanditée par "des parties au pouvoir" sans les nommer.
Le président du Mouvement Ennahdha Rached Ghannouchi a déclaré mercredi 5 décembre que l'Union générale tunisienne du travail (UGTT) est une organisation syndicale et non un parti politique radical.
Tout a démarré avec des affrontements qui ont lieu hier en début d’après-midi devant le siège de l’UGTT à la place Mohamed Ali au centre ville de Tunis. Chacune des parties accuse l’autre d’avoir ouvert les hostilités, comme à l’accoutumée, c’est devenu le quotidien de notre « Tunisie post-révolution ».